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EN CONCLUSION . . .
De nombreuses théories relatives à Gizeh ont vu le jour, et cependant aucune
réponse certaine n'existe encore.
De nouvelles hypothèses continueront donc d'apparaître...
Gageons qu'au lieu de prêter au(x) concepteur(s) un raisonnement extrêmement complexifié ou mystique,
voir évoquant des sources extra-terrestres ou autres, il se confirmera sans doute que ceux-ci n'ont utilisé
que des méthodes rigoureuses et simples du niveau d'un élève de seconde et sur lesquelles repose encore une
grande partie de notre savoir....
Loin de minimiser leur génie ce sera au contraire leur glorification...
Il est acquis que l'Egypte ancienne avait des connaissances avancées dans bien des domaines dont celui de
l'observation des astres et du temps, d'où par exemple les orientations cardinales des pyramides quasi parfaites.
De mon point de vue la conception de l'ensemble du site de Gizeh ainsi que celle des pyramides elles-mêmes
ne résulte que de la mise en oeuvre de moyens simples qui n'ont rien à voir avec de quelconques mystères.
La méthode des trames, c'est-à-dire en utilisant pour dessiner un maillage de carrés identiques tels
un filet est connue depuis la nuit des temps.
Le concept mathématique de Khéops s'explique avec l'utilisation d'une trame sur laquelle les proportions
étaient déterminées en comptant simplement les carrés horizontalement et verticalement puis en traçant
la diagonale du rectangle ainsi obtenu. Le procédé certes a été complexifié par l'usage simultané de plusieurs
trames réciproquement décalées.
Le point de convergence et les relations angulaires
très particulières des gaines de Khéops sont une réalité physique qui n'a fait l'objet d'aucune publication antérieure. Cette réalité induit
que le traçé des éléments internes a été obtenu par le simple usage des
diagonales des rectangles
.
En ce qui concerne l'implantation générale des constructions c'est également la méthode des trames
qui a été utilisée avec utilisation de valeurs particulières et une répartition selon la division Euclidienne.
(L'Egypte antique ne connaissait ni la division ni la multiplication).
La proposition par la méthode des trames que nous énonçions en 2003 aboutirait en la respectant à un positionnement identique à celui physiquement constaté de nos jours.(Différentiel de 10 mètres pour un site d'un kilomètre).
C'est tout ce que l'on peut en dire et cela ne démontre aucunement que c'est cette méthode qui a été utilisée.
Elle a simplement le mérite de répondre rationnellement à une question demeurée sans réponse à ce jour, de mettre
en évidence nombre de relations qui ne peuvent être le fruit du hasard et d'être en accord avec les connaissances
supposées de l'Ancienne Egypte.
Idem en ce qui concerne la cohérence des nombres, des proportions et des
relations mathématiques de l'ensemble
du plateau de Gizeh.
On y retrouve présents les précurseurs de recherches traditionnelles mathématiques qui ont perduré
jusqu'à nos jours. C'est le cas de l'
utilisation des suites de nombres premiers impairs
sous forme de (pseudo, car entachés de quelques centièmes d'erreur) triplets mathématiques dits de Pythagore.
Continuité présente à Babylone, Alexandrie et jusqu'à nos jours avec Pierre de Fermat,Euler, Gauss etc,..
Les Pyramides, quel magnifique témoignage!
Quel magnifique hommage au génie de l'homme!
Témoignage de l'émergence du savoir et de la culture, de l'homme fondateur.
Le manque d'outil n'a été compensé que par la rigueur et les avancées par les expériences sans cesse reconduites.
Le concept mathématique de Gizeh avec l'usage de ses valeurs particulières qui sont demeurées imperceptibles
depuis 4700 ans réfute à lui seul la thèse d'une volonté de construction mégalomaniaque à la gloire d'un individu,
ce qui serait vraiment faire injure.
Une telle perfection, une telle qualité dans la réalisation, l'absence de documents ayant trait à la personne mais par contre des textes animés par les variations solaires démontrent
bien qu'il s'agissait plus d'une volonté de transmission et de communication.
Un témoignage compréhensible au-delà des mots avec une interpellation sensorielle permanente.
La communication passe par les mathématiques, outil non susceptible d'interprétation contrairement aux langages ou aux sciences.
Communication aussi par l'harmonie et la conjonction cosmique.
Je peux dire aujourd'hui que je participe si bien à ce mode de pensée qu'il me serait facile de m'asseoir avec eux et de participer à leurs discussions ayant trait au concept de Gizeh.
Plusieurs raisons font cependant que je n'en fais figurer qu'une partie sur ces pages.
En premier lieu cela est du à l'immense respect que je porte à ces hommes qui au delà des temps ont su m'accompagner et qu'il existe un devoir de préservation.
De plus je pense que notre société n'est pas disposée à recevoir des modes de pensée qui ne s'inscrivent pas à l'identique des siens propres et les hérétiques ont toujours fini au bûcher.
Ce que j'ai trouvé au delà de tout ceci ne m'apportera ni richesse ni célébrité et à l'automne de ma vie je n'en ai pas besoin.
Ce sont des certitudes ineffables et incommunicables qui a elles seules suffisent à rendre intellectuellement heureux et qui s'appellent tout simplement une vérité.
Maintenant (*), une nouvelle recherche a pris place afin de connaître ce qui a pu précéder ces connaissances, connaissances acquises ou reçues?
Après le déclin de cette civilisation,y a-t-il eu perte, transmission ou préservation?
Et enfin pour ce qui précède, quels auraient pu en être les moyens et en particulier
quel aurait pu en être le véhicule humain?
ACTUALISATION AVRIL 2019
Auteurs Michel & Camille
(*) Les textes qui précèdent avaient été écrits en 2003,
- il furent suivi d'un second livre en décembre 2008
sur l'origine des connaissances et du véhicule humain,"Les Deux Sycomores de Turquoise",
- puis en mars 2012 par un troisième, "La Brique d'Imhotep", relatif aux témoignages
inscrits dans le granit de la Chambre du Roi de Khéops que nous qualifions de "mathématiquement somptueuse"!
- En juillet 2015 sur les bases des relevés de W.M.F. Petrie nous avons démontré les relations qui régissent les lieux d'implantations réciproques des trois grandes Pyramides,
- complétés en 2018 par une publication de Marco Virginio Fiorini/David Bowman,
- en février 2019 nous avons montré le pourquoi et le comment des Gaines (ou Conduits) dits de ventilation ont permis l'édification précise et rigoureuse de la Grande Pyramide
dans un lieu qui était dépourvu de toute référence physique ou spatiale.
- Sensibilisés depuis 1959 à ces sujets par l'Archéologue Marthe de Chambrun Ruspoli et Michael Scott de Glénaros à qui nos recherches sont dédiées, soixante ans plus tard
nous proposons notre
thèse actualisée en avril 2019. qui ne peut transmettre l'ensemble de nos données ou de ce qui serait peut être utile de l'être, son unique objet étant prioritairement de susciter ou permettre de nouveaux axes de recherches.
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