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LES AUTEURS
"La civilisation, la vraie, se construit non sur des complicités faciles, des démissions et des esclavages, mais sur des refus, des ruptures, des dépassements.''
(Théodore Monod: "Le Chercheur d'Absolu")
Camille et Michel sont tous les deux Français nés au Maroc durant l'année 1942 et où ils se sont rencontréss en 1963.
Puis ils se sont mariés en France en 1965 à Reims et ont eu deux enfants.
Par la suite, vivant à Paris, Camille a fait carrière dans l'ingéniérie des transports et Michel dans le
domaine des équipements hospitaliers et de l'informatique.
A l'heure de la retraite ils se sont installés en Normandie, là où la mer les avait fait venir.
Résidant à Tanger, plaque tournante entre Europe et Afrique, l'un des passages obligés des savoirs depuis l'antiquité,
Michel qui était fils d'une institutrice de l'Ecole Berchet à Tanger, a appris les bases de la connaissance marine au cours de navigations
sur le Détroit de Gibraltar, grâce au Capitaine du bateau d’un ami de la famille, le « Vittoria », sur lequel il embarquait le plus souvent possible.
La plaisance telle qu’actuelle n’existait pas encore dans les années mil neuf cent soixante et l’apprentissage allait depuis le maniement des outils en cale-sèche
jusqu’à la récompense par le pilotage, le tracé de la route ou encore la navigation.
C’est là qu'il acquit une première connaissance de la mer qu'il n’a plus jamais quittée et les hasards de l’existence lui ont heureusement toujours permis de naviguer.
Il a donc toujours apprécié les cartes.
Il lui arrivait également souvent de faire accompagnateur, porteur de colis ou encore de procéder au relevé de croquis sur les zones de recherches que pratiquait une Archéologue
qui résidait à Tanger, La Princesse Marthe de Chambrun-Ruspoli, amie de la Famille.
Parmi ceux souvent présents à la maison, un autre personnage, Michael Scott de Glenaros, tenait également une place importante dans les discussions relatives à ces recherches.
Trop jeune, (à peine vingt ans), et peu concerné pour sa part, ce n’est que plus tard que Michel en mesurera l’étendue car à l’époque, lors des journées sur le terrain, les sujets portaient
essentiellement sur le quotidien, sur ce qui touchait au Détroit ou au Maroc, que ce soit l’Atlantide, Lixus (Larache) et les Hespérides ou encore par exemple le Mont Acho, (Mont Abyla des
anciens qui fait vis-à-vis au mont Calpé, notre actuel Gibraltar).
Ce n’est que le hasard, intervenu vers la cinquantaine par la simple lecture d’une carte relative à Gizeh, que Michel a initié un travail qui s’est ensuite poursuivi plus d'un quart de siècle dont la constante fut de refuser
l'irrationnel.
Michel a poursuivi durant plusieurs années aux moments de loisirs ses recherches sur l'architecture de Gizeh commencées bien auparavant, -avec le soutien constant de son épouse-, dont une partie constitue ce site que vous consultez actuellement.
Ce site Numerus fut déposé en2003 et ce n'est qu'en janvier 2006 que la décision de rendre publics les résultats fut prise dans un esprit de contribution.
Il ne fut mis en ligne que le 12 octobre 2006 et a toujours fonctionné depuis ces 15 dernières années.
Récipiendaire de connaissances, (Nous le sommes tous),le premier des devoirs consiste à contribuer et transmettre.
En retour nous avons connus les rares et vrais bonheurs des rencontres et échanges avec des interlocuteurs passionnants.
Ainsi, il nous a été donné de contempler notre monde sous ses plus beaux atours et d'approcher de réalités que les anciens connaissaient dans différents domaines.
Il est également certain que nous avons aussi parfois rencontré l'inverse, mais quoi de plus normal?
Pour conclure ces quelques lignes de présentation, (se présenter est la premières des politesses), chaque être doit penser et espérer le droit au bonheur.
Michel et Camille
Cette photo résume et symbolise nos vies dans le respect et le partage qui nous a conduit à nos proches noces de diamant.
Ceci est la page de garde de ce qui depuis sa jeunesse à Tanger et ses lumières, est sa Bible, celle qui toujours près de lui côtoie son Koran et
autres livres sacrés.
Bible de Michel qui appartint à Marthe De Chambrun Ruspoli, dédicacée dans le sens du respect et partage ce qui pour sa part est symbobilisé par le coin supérieur droit coupé:
"On partage le tout et l'on en conserve que la plus petite part".
Dédicacée par Michael Scott de Glénaros, converti a l'islam , elle fut souvent entre les mains de La Princesse Marthe de Chambrun-Ruspoli,
catholique spécialiste mondialement connue de la Gnose, et la reliure en atteste....
Il parle d'eux page 6 dans "Les Deux Sycomores de Turquoise" et eut le bonheur d'avoir vécu là un véritable oecuménisme de la pensée et du respect des différences qui ne l'a jamais quitté.
A gauche, dans la petite enveloppe, le pétale de Rose qui était placé sous le Ciboire de Padre Pio à San Giovanni Rotondo lors de la célébration de ses offices.
Saint Padre Pio da Pietrelcina, reconnu et canonisé par l'Eglise est particulièrement vénéré dans toute la Sicile et le sud de l'Italie.
Il officiait à San Giovani Rotondo et le pétale de Rose joint à cette Bible est plus que rarissime ce que savent de très nombreux catholiques dans le monde entier.
Né le 25 mai 1887 à Pietrelcina (Pouilles du Sud de l'Italie), Il s'est éteint au matin du 23 septembre 1968 à San Giovanni Rotondo après la célébration du cinquantième anniversaire
de ses stigmates.
Le 16 juin 2002, Jean-Paul II le canonisa sous le nom de Sanctus Pius de Pietrelcina (Saint Pio da Pietrelcina) tout en ouvrant une procédure de reconnaissance officielle des stigmates par l'Église, des escarres détachés de ses stigmates lorsqu'il était en vie étant utilisées comme reliques à cet effet.
Sa tombe est ainsi devenue un haut lieu de pèlerinage.
On peut constater que le coin supérieur droit de la page a été coupé.
Non pas pour masquer ou éliminer un éventuel prix...,
On ne se sépare pas et l'on ne donne pas ce que l'on considère comme sacré.
On le partage tout en gardant une part pour soi, ce qui est symbolisée par le coin enlevé.
Note:
L'initié est celui qui a été instruit du chemin de la recherche des connaissances préservées dans un domaine ou un autre...
Un Plombier, un Cuisinier sont également des initiés qui savent bien des choses que j'ignore...
Un initié ce n'est pas un sorcier, un devin, un faiseur de tables tournantes et autres chimères pour ne pas dire villennies.
Un initié se doit d'obéir et de scrupuleusement respecter tant la vérité que des règles écrites depuis la nuit des temps et ne pas en tirer profit pour lui même, cela généralement durant un cycle de 60 années.
Par exemple la règle millénaire qui suit est en écriture cunéiforme translittérée:
Michel ne se considère pas pour autant comme un super génie qui a retrouvé la partie perdue ou oubliée depuis des millénaires de l'équation de Pythagore, ce, en trois dimensions.
DLE-20191104-66786
Ce que n'importe qui peut vérifier en mathématiques simples et qu'il a baptisée La brique d'Imhotep
A suive, pour exemples, deux de nos contributions:
1 - Les proportions des pyramides de Gizeh:
© Dépôt DLE-20200309-16474
Cette réponse aux proportions de chacune des 3 pyramides est le résultat de longues recherches. Comme l'oeuf de Christophe Colomb; le résultat est très simple quand il est connu...
Prenons l'exemple de la Pyramide de Khéops:
Selon nos mathématiques actuelles, tel que ce qui suit, il est possible d'écrire 7/11 qui est un "arrondi" archi connu des rapports de Khéops:
280/440 = 7/11 = +1/2+1/9+1/1.160
Si l'on utilise les savoirs de l'Egypte Antique, ce même rapport 7/11 peut s'écrire d'une infinité de manières et par exemple selon les Fractions Egyptiennes:
280/440 = +1/2+1/8+1/129+1/18.875
Pour l'Egypte Antique, Un règle d'arrondi consistait à réduire de 1 le dénominateur de la dernière fraction que l'on souhaitait conserver,
280/440 = +1/2+1/8+1/129+1/18.875
nous obtenons:280/440= +1/2+1/8+1/128
ensuite:280/440 = +1/2+1/7
280/440 = +1/2+1/7 et selon nos mathématiques actuelles: (0,6363)
Khéphren = 275/411 = 1/2+1/6 (0,6666) -- Khéops = 280/440 = 1/2+1/7 (0,6363)
-- Mykérinos= 125/201 = 1/2+1/8 (0,6237)
Cette décision des proportions des 3 Pyramides Démontre et Établit que le Plan de l'ensemble plateau de Gizeh résulte d'une seule
et unique conception ou règle, même si la mise en oeuvre a été réalisée sous plusieurs règnes,
ce qui ne peut que confirmer la volonté et l'importance que les concepteurs y attachaient et ne manque pas de nous poser bien des questions.
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2 - Leur positionnement au sol.
a, b et c = longueurs des bases de chacune des Pyramides. ---- ha, hb et hc = leurs Hauteurs
Unité de mesure: La Coudée Royale. 1 cr = 0,5236 mètre. --- Les valeurs en Rouge sont les mesures de WMF Petrie.
© Dépôt DLE-20191104-66786
La réponse complète et la démonstration ne nécessitent que moins de 10 lignes en n'utilisant que l'addition et la soustraction complétées de quelques rapports parmi les fondamentaux connus, tel que pratiquait l'Egypte Antique, appliqués aux dimensions
physiques des bases et des hauteurs des trois Pyramides.
Durant ces dernières décénnies, un nombre considérable de publications a tenté d'apporter une réponse au pourquoi et comment de ces positionnements,
depuis la représentation d'étoiles jusqu'au carrés magiques en passant par Pi ou le nombre d'or si ce n'était pas au moyen de spirales diverses à défaut de l'oeil d'Horus ou de l'avant bras de Pharaon...
De nombreux livres, pages internet, conférences ou autres y ont été consacrés.
En toute bonne foi, des scientifiques reconnus, ont tenté de répondre à cette question au moyen de racines carrées ou autres. Ces calculs étaient-ils possibles pour l'Egypte Antique il y a 4.500 ans?
Simple rappel: L'Egype Antique ne connaisssait ni la multiplication ni la division.
Euclide est apparu et se situe vers 300 ans avant notre ère, c'est à dire environ trois millénaires après les pyramides,
Les Babyloniens connaissaient la multiplications par deux en base 60,
Le fameux papyrus de Rhind date d'environ dix huit siècles avant notre ère, soit bien après les pyramides de Gizeh.
Bien des années et de nombreuses erreurs ont également été nécessaires pour présenter le plan qui précède...
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Je bénis toujours ceux qui il y a maintenant 60 ans m'avaient initié et sensibilisé à ces questions et que je cite à nouveau.
A 80 ans j'ai atteint l'âge du repos, ce que j'ai reçu et n'ai pas pu ou su transmettre le sera par d'autres.
Port de Tanger, Michel (Numérus) et le "Vittoria" vers 1960. |
Port de Tanger, l'apprentissage de la mer... |
Vers 2012, toujours magnifique, Alboran,ainsi baptisé en l'honneur du Détroit,
ce Compagnon traça le sillage heureux de nos navigations durant 30 années... |
Les Colonnes d'Hercule des Anciens, notre actuel Détroit de Gibraltar.
A l'Ouest notre Océan Atlantique, à l'Est la mer d'Alboran.
Terminaison occidentale de la Méditerranée, Alboran était l'Océan de Qert pour l'Egypte Antique.
Avec mon épouse, j'ai connu l'extrême bonheur de parcourir la mer durant plus de quarante années de navigations heureuses...
Dans ma, (lointaine), jeunesse la lecture de "A la poursuite du Soleil" écrit par "Alain Gerbault" qui y narrait ses navigations en solitaire et tour du monde
avec son voilier le cotre "Firecrest" a toujours été présente en mon esprit.
Joies que j'ai vécues lors de mes navigations hauturières en solitaire tel avec notre quatrième et dernier voilier "Alboran",
partant du Havre via Brest et Lisbonne pour rejoindre Gibraltar et Malaga où mon épouse embarquait pour
les navigations Méditerranéennes autour des Baléares, la Corse,la Sardaigne, Naples, Capri, Les îles Eoliennes, la Sicile, les îles Aëgates, etc,...
Aucun exploît là dedans, simplement une véritable passion pleinement assumée.
Michel
Michel fut un "rapatrié" avec pour viatique un billet d'avion donné par la France et 30 francs. (Pas pour se nourir mais surtout pour déguerpir de l'aérograre d'Orly à l'arrivée et ne pas l'encombrer).
A cette époque, à Sainte Geneviève des Bois non loin d'Orly venait de s'installer un premier Supermarché "Carrefour"...
L'avion du rapatriement- (Constellation Air France avec soute ventrale, Aéroport Boukalef-TNG-)
Notez la demie sphère transparente sur le toît de l'Avion pour la navigation au Sextant...
Tous leurs Amis et Ceux qui les connaisent savent que les passions de Michel, hormis sa famille, ont tout au long de la vie étées: L' Apparition de la Connaissance Humaine, la Mer,
les Déserts et le Ciel.
Pour simples exemples non exhaustifs, quelques uns des livres écrits durant leur retraite.
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Numérus |
ISBN: 978-2-9531305-0-8 |
2003 |
A5 - 211 pages |
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Les deux Sycomores de Turquoise |
ISBN: 978-2-9531305-1-5 |
2008 |
A5 - 207 pages |
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La Brique d'Imhotep |
ISBN: 978-2-9531305-2-2 |
2012 |
A5 - 103 pages |
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Khéops le livre de Pierres |
ISBN: 978-2-9531305-3-9 |
2015 |
A5 - 102 pages |
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Les Lumières du Détroit |
ISBN: 978-2-9531305-4-6 |
2017 |
A5 - 118 pages |
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Khéops, Pourquoi et Comment |
ISBN: 978-2-9531305-5-3 |
2019 |
A5 - 202 pages |
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Réflexions à propos de Gizeh |
ISBN: 978-2-9531305-6-0 |
2020 |
A5 - 44 pages |
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(Diffusés de 2008 à 2021.)
Prochainement:
L'Enfer de Dante serait-il caché au pays de la Pomme?
Au 21ème Siècle dans les Hauts-Bois de Normandie.
Tous leurs Amis et Ceux qui les connaisent savent que les passions de Michel, hormis sa famille, ont tout au long de sa vie étées: L' Apparition de la Connaissance Humaine,
la Mer, les Déserts et le Ciel.
Horizons sans fin... (Hélène Boucher 1934+).
Théodore Monod
Un Grand!...
Hormis La Princesse Marthe de Chambrun Ruspoli à Tanger, C'est l'unique Auteur ,bien que hélas ne l'ayant jamais rencontré, pour lequel j'ai ressenti une telle et profonde proximité de l'esprit,
et de communion, avec un immense respect pour notre vécu individuel des espaces infinis, de nos solitudes de chercheurs tant pour ce qui est de la Mer que des Déserts.
Comme lui j'ai toujours aimé les Déserts..., les vrais avec les innombrables connaissances et enseignements qu'ils nous offrent.
Lieux de plénitude où chacun prend sa modeste dimension avant de commencer à percevoir l'harmonie du tout.
Théodore Monod a parfaitement décrit ce ressenti commun à ces deux espaces
En voici un court extrait:
Le désert, c'est aussi l'apprentissage de la soustraction.
Deux litres et demi d'eau par personne et par jour, une nourriture frugale, quelques livres, peu de paroles.
Les veillées du soir sont consacrées aux légendes, aux contes, au rire.
Le reste appartient à la méditation, au spirituel. Le cerveau met le cap en avant.
Nous sommes enfin débarrassés des futilités, des inutilités, des bavardages.
L'homme, cette étincelle entre deux gouffres, trace ici un chemin qui s'effacera après son passage.
Soustraire, se soustraire ; prendre l'essentiel non seulement d'objets mais de pensées, cet allégement est déjà une philosophie.
Le désert n'est pas complaisant. Il sculpte l'âme. Il tanne le corps.
Il faut supporter le soleil intense du jour, le froid de la nuit.
Trouver de l'eau, cette richesse.
Supporter de perdre le sens du temps et de l'espace.
Ceci n'est pas réservé qu'aux novices.
Si ce vertige prend un Touareg, vous le verrez s'allonger, se recouvrir de son burnous.
L'arrêt, le sommeil, l'obscurité, le silence le recentrent. Car le désert, dans le Ténéré par exemple, offre, comme la mer, un horizon perpétuellement circulaire. [...]
Les nomades se réfèrent toujours aux astres, au vent.
Quelques mots d'un Bédouin m'ont toujours plus appris que ceux des professeurs.
C'est pourquoi j'interroge toujours les pèlerins du désert. Leur acuité visuelle, mentale, instinctive est admirable.
Le nomade s'appuie sur des repères infimes dans un paysage quasi désertique : une bande de sable de telle couleur, un ensemble de pierres de telles formes.
L'homme est lié au paysage et sa vigilance lui garantit une liberté toujours fragile.
Théodore Monod "Le Chercheur d'Absolu" - 1997
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le désert, c´est aussi cela:
| '2001, Promenades sur la route des caravanes.' | |
Dans le Tafilalet...
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