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LA RELATION AU TEMPS. . .

fleurs

Passer quelques années de réflexion en compagnie des pyramides conduit nécessairement à se poser de nombreuses questions dans des domaines divers et variés.

Celui du temps est de ceux-ci.

Les pyramides témoins depuis 4700 ans du temps qui passe posent la question de la durée.

La momification pose celle du devenir de l'homme et de ses croyances.

Les constructions posent celles de la connaissance.


Nous avons l'habitude de par notre éducation et de nos références à considérer que le temps est quelque chose qui se déroule linéairement depuis un moment d'origine, peut-être le "big-bang", vers une fin qui n'arrivera jamais et que nous nommons éternité.

La science nous a entretenus du principe de relativité qui impose de renoncer au caractère absolu du temps, relativité qui s'applique dans différents systèmes référentiels.

(Note : Pour ce qui suit je ne parle que dans un seul référentiel. Les événements se produisent au même endroit, il s'agit d'un "temps propre").

Au quotidien nous mesurons le temps au moyen de différents métronomes tels que les astres pour le jour, l'heure...

D'autres métronomes tels que la vibration de l'atome nous donne le temps atomique...

Le processeur de la machine sur laquelle j'écris ces lignes utilise encore une autre fréquence que nous comparons à notre temps standard de référence, aux normes que nous avons décrétées.

Ceci pour dire qu'il existe différents métronomes tant au niveau du vivant qu'au niveau de la matière elle-même.


Il est donc logique de se demander de ce qu'il pourrait en être pour le vivant qu'il soit animal ou végétal.

Dans le vivant chacun connaît l'exemple de l'éphémère, insecte dont le cycle de vie n'est que d'un jour ou deux alors que le chien aura un cycle d'une quinzaine d'années et environ quatre-vingt pour l'homme.

Leurs organismes utilisent cependant des constituants identiques et ils sont dans le même espace référentiel.

Malgré ces différences de durée par rapport à notre propre appréciation du temps, chacun d'eux aura l'impression d'avoir vécu une vie tout en ayant bénéficié d'un capital temps important.

Dans le végétal les écarts sont encore plus significatifs si l'on pense par exemple aux séquoias dont la durée de vie peut atteindre deux mille de nos ans...

Pourtant le grand métronome (celui qui se situe à l'échelle commune par exemple aux trois espèces citées), qu'il soit cosmique ou atomique aura été le même pour tous.

Nous ne vibrons donc pas avec les mêmes fréquences.


Chaque espèce animale ou végétale (et certainement de même pour le minéral) dispose sans doute d'une fréquence qui lui est propre et qui interfère sur ses perceptions et comportements.

Le colibri avec son battement d'ailes ultra rapide et la mouche n'ont pas les mêmes visions, réflexes et comportements qu'un ours ou un éléphant.

En ce qui concerne l'homme, on peut également se poser la question de savoir si la fréquence est la même pour tous car par exemple, certaines populations du Pérou ont une durée de vie anormalement différente de celle des autres.

Demeure ensuite la question de savoir quelle est la relation entre la fréquence du métronome de l'homme et celui de l'universel ?

Sur le référentiel Terre, depuis le "big-bang" à nos jours cela représente-t-il un seul battement de ce métronome universel ou à contrario une infinité ?

A moins que le temps ne se déroule pas et soit immuable, à l'image de la matière dont la masse stable ne peut varier qu'à des vitesses proches de la lumière... et s'il en est ainsi et que le temps est immuable, alors ce serait le contraire de la perception que nous en avons.

(Transformations de Lorentz et dilatation du temps).


Si l'on prenait pour hypothèse que le grand métronome universel n'en est qu'à la première partie de son premier et pourquoi pas unique battement, tout ce que l'homme connaît de l'histoire du temps et de la dimension de l'espace pourrait, pour faire image, se résumer à un minuscule flash d'étincelle intemporelle qui aurait pris place dans un autre univers référentiel de fréquence plus longue que nous percevons comme l'éternité.

Mais cet autre univers référentiel aurait donc un début et une fin.

L'éternité aurait alors également dans ce cas un début et une fin.

Ceci pour dire que ces grands mystères ne sont peut être que la conséquence de notre incapacité de perception de la réalité.

Comprendre et connaître ces différentes fréquences qui nous régulent et nous définissent dans le temps de notre référentiel Terre serait peut-être une bonne approche pour appréhender ce qu'est la vie et son véritable sens.

En prendre conscience permet déjà à minima de mieux percevoir notre environnement dans le monde du vivant.

Dans le monde minéral, pourquoi les différents constituants ne vibreraient-ils pas sur des fréquences qui pour nous sembleraient voisines d'une éternité mais géreraient les métamorphoses comme pour le vivant ?

Naissance, vie et mort des univers.

Nos constituants physiques moléculaires sont "éternels" en regard de la définition de Lavoisier et de la physique.

Notre vivant, ce que nous appelons, nous, ne serait-il que vibrations et déterminé uniquement par leurs fréquences ?



Sens de la vie, connaissances et croyances ?



Note: A ce texte écrit avant 2003, j'ajoute en 2018 les remarques complémentaires qui suivent:


Encore conviendrait-il définir préalablement le sens et la définition du mot "Vie"...
Ma définition personnelle est:
"La capacité d'un organisme animal végétal ou autre à se perpétuer pour persister."

Quel en serait le motif?
La vie aboutit à une croissance telle au cours du temps qu'elle n'a pas d'autre issue que de disparaître.
La multiplication de l'homme par exemple, et on le constate déjà, engendre une lutte et prédation des autres ressources qui lui sont indispensables pour "vivre" et qui immanquablement s'avéreront insuffisantes pour aboutir finalement à sa disparition.
Le créationnisme si l'on est croyant, de même que l'évolutionnisme ou encore nos sciences actuelles ne répondent pas à cette question pour ce que nous appelons "le vivant".

Qu'en est-il de "la matière" que nous percevons comme inerte?

La vie d'une étoile se compte en milliards de nos années...
Notre soleil est une étoile de type " Naine Jaune " qui représente environ dix pour cent de ce que l'on peut rencontrer dans la voie lactée.
Une étoile banale somme toute...

Leur durée d'existence est de l'ordre de dix milliards de nos années terrestres avant de se mettre à grandir démesurément par différentes phases successives durant d'immenses périodes et devenir des "Géantes Rouges ".
Notre soleil par exemple lorsqu'il aura accompli sa phase de réchauffement enflera comme un monstrueux ballon gazeux qui engloutira totalement Mars, Vénus, notre terre avant de redevenir en s'effondrant sur lui-même une " petite Naine Blanche " puis recommencer les phases d'un nouveau cycle, telle la supernova observée en août 2011.
(Cette explosion d'étoile s'est produite dans la galaxie M101, située dans la constellation de la Grande Ourse, à environ 21 millions d'années-lumières (1 année-lumière = 9.460 milliards de km). Il s'agit de la plus proche supernova observée depuis 1986, baptisée « SN 2011fe ». Les observations ont confirmé que l'explosion s'était produite au sein d'un système de deux étoiles, dont l'une était une naine blanche composée d'oxygène et de carbone. Une naine blanche est un ultra dense résidu d'étoile, dont une cuillerée de matière peut peser dix tonnes.)
Un nouveau cycle pourra alors recommencer.


Rassurons nous, ce n'est pas pour demain.
Sur les dix milliards d'années terrestres de vie probable de notre soleil, nous n'en serions qu'à moins de cinq et il n'aurait pas encore débuté sa propre phase de réchauffement qui peut se compter également en milliards d'années terrestres.

Nous sommes là dans des échelles de dimensions et de temps qui n'ont rien de commun avec nos références habituelles et notre perception de tous les jours.

Notre soleil domine de par sa masse et sa force gravitationnelle l'ensemble des planètes du système solaire.
Il fait partie de notre galaxie, la " Voie Lactée " qui pour sa part compterait plus de cent milliards d'étoiles et aurait une dimension physique de l'ordre de cent mille années lumière...
La vitesse de la lumière étant de 299 792 458 mètres par seconde, on peut dire que si son milieu de propagation est le vide, sa dimension pourrait s'arrondir à 9.500 milliards de kilomètres.


Et des galaxies comme celle-ci, il y en aurait des milliards dans l'Univers...

Leur nombre demeure inconnu à ce jour.

De quoi donner le vertige ! et ce bouillonnement à l'échelle de l'Univers durera-t-il combien de temps?

Univers qui est de dimensions fixes ou en expansion ?
A-t-il eu un début, pour certains le Big Bang ?
Aura-t-il une fin?
Questions et réponses qui ne sont pas du domaine du commun et qui font toujours l'objet de grands débats parmi les astrophysiciens.

En 2003, j'avais fait précéder ma conclusion par les mots:

Naissance, vie et mort des univers.


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